Les physiciens viennent de réaliser un tel stockage avec une efficacité record de 70 %, ce qui rend possible le stockage quantique sécurisé. Être capable de stocker l’information quantique dans des mémoires et la relire à la demande est une étape clé pour les futurs réseaux quantiques. Ces mémoires permettent de synchroniser des bits quantiques, pour leur utilisation par exemple dans des protocoles de communication quantique à grande distance ou des algorithmes de calcul.
Ce travail a été publié le 25 janvier 2018 dans la revue Nature Communications.
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Contact chercheur : Julien Laurat (julien.laurat[AT]sorbonne-universite.fr)
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