Une équipe internationale menée par des chercheurs du CNRS dont un membre (Antoine Gusdorf) du Laboratoire de radioastronomie au département de physique de l'ENS , de l’Université Grenoble Alpes et du CEA vient bouleverser l’idée que l’on se faisait de la formation des étoiles. La précision des observations offertes par l’interfémoètre ALMA a permis de mesurer la quantité de cœurs massifs progéniteurs d’étoiles au sein d’une région lointaine très active de notre galaxie, et ainsi de montrer que leur proportion y est plus élevée que celle attendue.
Publiés dans Nature Astronomy, ces résultats pourraient remettre en cause l'idée largement partagée selon laquelle la distribution en masse d'une population de cœurs progéniteurs d'étoiles serait identique à celle de sa descendance.
Retrouvez le communiqué dans son intégralité sur le site du CNRS.