Institut de biologie de l’Ecole normale supérieure IBENS

Présentation

L’Institut de biologie de l’ENS (IBENS) est un centre de recherche fondamentale qui mène des recherches originales visant à décrypter les mécanismes fondamentaux au cœur des processus biologiques.

Unité mixte ENS-CNRS-INSERM, l’IBENS accueille plus de 300 personnes regroupées en 30 équipes autonomes conduisant une recherche hautement collaborative et multidisciplinaire qui allie approches expérimentales et théoriques.

L’activité de recherche couvre des champs thématiques variés : Neurosciences, Biologie du développement, Génomique fonctionnelle, Écologie et biologie de l’évolution.

Plusieurs plateformes technologiques, notamment en imagerie, génomique, protéomique et bio-informatique sont à la disposition des chercheurs. Les recherches menées à l’IBENS bénéficient des interactions avec d’autres disciplines présentes à l’ENS (physique, chimie, sciences cognitives, mathématiques). L’IBENS est activement impliqué dans la formation des étudiants et jeunes chercheurs à tous les niveaux.

Thèmes de recherche

Les thématiques de recherches sont regroupées en 4 axes :

1. La section Neurosciences développe des thèmes de recherche centrés autour de la synapse allant des études moléculaires de la fonction des récepteurs à la dynamique des réseaux chez des animaux en situation comportementale et à des études théoriques.

2. La section Biologie du développement  développe des recherches qui couvrent une variété de sujets de biologie du développement et de biologie cellulaire, avec un accent particulier sur l’étude du développement du système nerveux des vertébrés.

3. La section Génomique fonctionnelle s’intéresse aux mécanismes d’expression des gènes. Elles étudient l’organisation des génomes, les mécanismes de réplication de l’ADN et de sa transcription en ARN, en conjuguant biochimie, biologie moléculaire, génétique, imagerie et bio-informatique.  

4. La section Écologie et biologie de l’évolution exploite divers organismes modèles pour étudier et modéliser les processus évolutifs dans le cadre de contraintes développementales ou écologiques particulières. Les chercheurs considèrent la diversité biologique de l’échelle moléculaire jusqu’aux espèces et communautés.